François Sauvadet : « Un message de solidarité pour 2024 »
En ce début du mois de janvier, les responsables politiques formulent leurs traditionnels vœux de bonne année. C’est par exemple le cas de François Sauvadet, le président du conseil départemental de la Côte d’Or.
2 janvier 2024 à 12h10 par la rédaction
Ci-dessous, les vœux de François Sauvadet :
« Chères Côte-d'Oriennes, chers Côte-d'Oriens, nous vivons un contexte difficile et je veux tout d'abord vous adresser un premier message qui est un message de solidarité. Vous le savez, le Département de la Côte-d'Or est le chef de file des solidarités humaines. Il entend rester résolument à vos côtés, aux côtés des plus fragiles, pour protéger nos enfants, soutenir nos aînés, accompagner les personnes handicapées, les personnes isolées, les familles.
En 2024, nous allons consacrer pratiquement 62 % de notre budget pour assurer cessolidarités, pour que chacune et chacun d'entre vous qui avaient des difficultés, vous sentiez accompagné. Ensuite, je veux vous adresser un message de confiance, confiance dans l'avenir, confiance dans notre département qui est riche de ces hommes, de ces femmes qui entreprennent, qui produisent, qui innovent, qui soignent. Nous sommes face aussi à de grands défis, vous le savez, vous le vivez. Défi du changement climatique, de la transition énergétique, de la transition numérique. Mais tout cela est aussi porteur de formidables opportunités. Nous avons confiance dans l'avenir. Nous devons avoir confiance dans l'avenir. C'est la raison pour laquelle en 2024, nous allons investir massivement plus de 130 millions d'euros. L'enjeu, c'est de préparer notre avenir collectif, c'est de penser à l'avenir de nos enfants. Nous venons d'ailleurs de terminer le déploiement du très haut débit sur l'ensemble du département.
Mes chères Côte-d'Oriennes, chers Côte-d'Oriens, je veux pour finir vous souhaiter tout simplement de belles fêtes de fin d'année. Profitez de ces moments en famille et entre amis. Je vous souhaite une très bonne année 2024 en Côte-d'Or, bien sûr ! »