Classement des villes étudiantes : Dijon conserve sa 17ème place

Comme chaque année, la rédaction a passé au crible 43 villes universitaires : logement, études, sports, sorties, culture, transports... pour savoir quelle est la ville où la qualité de vie est la meilleure pour étudier. Cette année, Toulouse numéro 1 depuis deux ans, conserve la première place devant Lyon et Rennes qui se partagent la deuxième marche du podium. Dijon conserve sa 17ème place au classement général mais perd une place et devient 3ème dans la catégorie Grandes Villes Poitiers et Pau, sont respectivement en tête des classements des grandes villes et des villes de taille moyenne. 

L'intégralité des résultats à découvrir sur letudiant.fr

Le Classement détaillé de Dijon : 

 Son classement par critère :

Attractivité : 25ème -4 places vs N-1

Formation : 10ème +1 place vs N-1

Cadre de vie : 16ème -1 place vs N-1

Vie étudiante : 19ème +10 places vs N-1

Emploi : 22ème +5 places vs N-1

Un classement qui prend en compte les besoins des étudiants

Le classement des villes étudiantes de l'Etudiant prend en compte les indicateurs permettant de mieux cerner les besoins essentiels des étudiants :

- Une offre de formations qualitative et suffisamment diversifiée,

- Des propositions de logements nombreux et peu onéreux,

- Un réseau de transports en commun efficace et abordable,

- Un programme culturel riche et varié,

- Un marché de l'emploi important et dynamique,

- Une ville attractive pour les étudiants Européens du programme Erasmus, et un peu de soleil en prime

43 villes, 5 familles de critères et 16 indicateurs

Le palmarès de l'Etudiant évalue les 43 unités urbaines françaises définies par l'INSEE dans lesquelles vivent plus de 8.000 étudiants. Elles sont en réalité 44 en France, mais cette année Lens-Douai n'a pas souhaité apparaître dans notre classement.

Au total ce sont 16 indicateurs classants basés sur des données publiques qui ont permis de classer 43 unités urbaines de plus de 8 000 étudiants. Les indicateurs sont regroupés en cinq grands critères : Attractivité, Formation, Vie étudiante, Cadre de vie et Emploi. Chacun des 16 indicateurs servant à alimenter les 5 grands critères.

Ces 43 unités urbaines ont ensuite été réparties en trois familles : les métropoles (plus de 40000 étudiants), les grandes villes (de 20000 à 40000 étudiants) et les villes de taille moyennes (de 8000 à 20000 étudiants). Chacune de ces catégories fait l'objet d'un classement général, ainsi que de classements par thèmes.

Pour cette 15e édition, le classement des villes étudiantes où il fait bon vivre ne voit pas de changement important dans sa méthodologie. Du moins en ce qui concerne les 16 critères classants pour le classement général, car de nouveaux indicateurs font leur apparition dans les fiches des villes, mais simplement à titre informatif. Ces nouveaux critères enrichissent le palmarès et permettent d'observer des domaines qui font écho chez les étudiants.

Nouveautés 2021 :

Cette année, il n'y a pas de changements dans les critères classant pris en compte.

En revanche de nombreux nouveaux critères informatifs sont pris en considération, en premier lieu des critères en lien avec l'environnement. A savoir le nombre de kilomètres de pistes cyclables dans l'aire urbaine, l'utilisation ou non de produits phytosanitaires dans les jardins municipaux.

Pour le critère « Avis des lecteurs », un nouvel indicateur a aussi été introduit cette année. La rédaction a interrogé les lecteurs sur l'engagement de leur ville pour l'environnement. Les jeunes générations étant animées par l'écologie, il a semblé important d'intégrer des indicateurs sur cette thématique.

L'ensemble de la méthodologie est à retrouver sur letudiant.fr

L’interactivité sur letudiant.fr : chacun fait son propre classement 

Pour mieux coller aux attentes des futurs étudiants, ces derniers peuvent établir leur propre classement sur letudiant.fr en sélectionnant uniquement les éléments qui sont importants pour eux, classés en 5 catégories : cadre de vie, vie étudiante, etc.

Une quinzaine d'indicateurs « non classants » (tarifs des transports, nombre de cinémas dans la ville...) et la mise en avant par la rédaction d'initiatives locales, permettent également de se faire une idée plus précise de ce qui attend les futurs étudiants ville par ville.